Aubier

Aubier est une entreprise de ceintures magnétiques uniques au monde. Les aimants surpuissants utilisés permettent une excellente tenue et sa manipulation est plus simple que les boucles traditionnelles. 

Réfléchies en économie circulaire, la principale composante des ceintures Aubier est du liège-caoutchouc entièrement recyclé. 

Nous utilisons un cuir végétal à base du cactus Nopal où ses feuilles sont récoltées sans faire de dommage à la plante elle-même. Ce cactus, qui consomme très peu d’eau et qui peut pousser dans des sols sévèrement dégradés, possède une très bonne capacité d’absorption du CO2 et de régénération des sols.

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La simplicité d’utilisation de la ceinture Aubier va séduire ceux qui oseront différent. La porter c’est l’adopter. Nous estimons que plus en plus de gens découvriront nos ceintures et délaisseront les ceintures à boucle traditionnelles.

Yan Poirier, Cofondateur d'Aubier

Lasclay

Lasclay est le premier projet qui a vu le jour avec les profits réinvestis de Sounds Good. Cela faisait des années que Gabriel, co-fondateur de Sounds Good, rêvait de créer un projet utilisant les milles vertus de l’asclépiade, une plante indigène de l’Amérique du Nord, qui est aussi la seule nourriture du papillon monarque.

En récoltant la soie d’asclépiade à l’automne lorsque le papillon monarque a déjà migré pour le Mexique, Lasclay participe à un écosystème où l’humain et la nature sont gagnants-gagnants. La soie est ensuite utilisée comme isolant dans la création de vêtements ou d’accessoires issus de la fabrication locale.

La culture de l'asclépiade ne requiert aucun engrais ou pesticide et la soie permet de remplacer le duvet d'oie ainsi que tous les isolants synthétiques provenant du pétrole.

Aujourd’hui, Lasclay vole de ses propres ailes avec Gabriel à la tête du projet.

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Loin d’être freinés par la pandémie, deux entrepreneurs de Québec viennent de lancer des mitaines isolées à la soie d’asclépiade, une fibre végétale chaude, écoresponsable et cultivée ici. Lasclay rêve de réaliser ce que plusieurs avant eux n’ont pas réussi à faire: rentabiliser la «soie d'Amérique».

Anne-Sophie Roy, Le Journal de Montréal